ozi

J’adore lire. Ou du moins j’adore lire les livres qui m’intéressent du moment. On va dire en général que ce sont les essais, et les biographies, et un tout petit peu de littérature et de philosophie.

J’écoute aussi des podcasts, beaucoup de podcasts, beaucoup trop ? je ne pense pas. De toute façon c un coup à faire une overdose.

Sur Internet, qui prend une place immense dans ma vie (je m’en sers 18h sur 24, tous les jours, depuis plusieurs années), malgré la pléthore d’informations disponibles, je suis assez fier de mes favoris et des trois quatre sites sur lequel , pour chaque article qui m’intéresse, je vais pouvoir découvrir une mine d’or d’infos avec la qualité extrême des commentaires. Je pense à Stackoverflow.com, lobst.rs, news.ycombinator.com, reddit.com (ce dernier ayant en plus, des fois, des commentaires sarcastiques qui me font mourir de rire. Le pseudonymat ça a du bon parfois).

En discutant avec les gens , on me trouve parfois cultivé. Ca fait plaisir a priori. Mais j’ai souvent la question dans ma tête : Comment se fait -il que tu ne connaisses pas ceci , surtout lorsque l’information est censée t’importer au premier plan. Surtout sur les sujets régaliens, ou des must have pour aider à la survie. Un exemple récent c’est celui de l’assurance santé quasi gratuite en Côte d’Ivoire, programme qui est quasi inconnu de mes voisins.

Alors que c’est eux qui en auraient besoin au premier plan de cela.

Lors de mes études en école d’ingé, je me suis giga passioné par les moteurs de recommandations. C’était vraiment une obsession, d’autant plus qu’à l’époque, je prenais vraiment le « machine learning » de façon littérale, aka uen machine qui apprend et qui va finir par nous éclater car on pollue et on détruit notre chère planète.

Le principe d’un programme qui suggère automatiquement (le mot approprié devrait même être suggestion de mon point de vue), la recommandation me faisant inclure des éléments très forts de contexte socioéconomique, sociologique, historique et temporel me fascinait. La preuve, j’ai postulé pour mon stage de master 1 à 80% parce que mon potentiel maître ce stage (coucou Romain) était en thèse et étudiait les moteurs de recommandation.

IL s’avère que les programmes étaient hypés et faisaient beaucoup moins que ce que je m’étais imaginé, ce qui est même le cas jusqu’au jourd’hui.

L’exemple pour moi est le fait que je ne regarde quasiment plus Netflix alors que j’ai suivi leur célèbre challenge et que je leur donne plein d’informations sur mon activité pour les aider à me suggérer de nouveaux trucs (un truc comme Naruto, un truc sur la haute finance, une série comme suits mais en vrai, ….) Mais ils n’y arrivent pas, et j’ai l’impression d’être tombé par hasard sur les dernières séries que j’ai aimées, quelle que soit la plateforme de streaming que l’on considère.

J’aimerais lancer un side project sur l’accès à l’information pour les Africains, dans le sens : ceci devrait pouvoir t’aider. En as-tu déjà entendu parler ?

J’imagine de l’ALS en mode reinforcement learning pour commencer, en faisant méga attention à la boucle de feedback. La réflexion sur ce dernier sujet là est elle aussi critique.

Je vais faire les frontaux avec flet.dev, que j’ai découvert récemment et dont j’ai entendu le fondateur en expliquer les principaux compromis, qui me conviennent tout à fait.

Reste plus qu’à trouver le marché sur lequel débuter et ce qu’on commence à recommander, et s’y mettre !!!

Je pensais baptiser le projet ozi. qu’en pensez vous ? Dîtes moi, ou faites moi des suggestions en commentaire 🙂